Jean-Thierry Winstel : les jeux éducatifs bioconçus
Pour Jean-Thierry Winstel, l’engagement sociétal, c’est surtout une manière de vivre, de penser, d’agir. L’entreprise développe et commercialise des jeux éducatifs, fabriqués de façon écoresponsable depuis 25 ans (ils vont les fêter cette année) : « nous sommes d’ailleurs la première entreprise à mission de notre secteur » précise JT Winstel, à la tête d’une équipe de 29 personnes pour 8,5M€ de chiffre d’affaires, dont 10% réalisés à l’export. Bioviva travaille au niveau mondial : « nous sommes présents en Belgique, en Suisse, Espagne, Italie, Chine, Maghreb, Canada. Nous souhaitons renforcer notre présence au Québec par le recrutement d’un VIE, c’est notamment pour cela que nous avons rejoint la communauté Racines Sud », explique Jean-Thierry Winstel. Il enchaîne en précisant « en intégrant le réseau de Racines Sud, un réseau de dirigeants originaires du sud, nous allons également participer et comprendre comment mettre en place des relations gagnant-gagnant.
Nous sommes également curieux de pouvoir comparer et peut-être nous inspirer du fonctionnement d’autres entreprises à l’export. Nous pourrons partager et échanger, cela devrait être constructif pour tous. » Bioviva est également à la recherche de partenaires pour continuer leur développement international : « création de filiales, distributeurs, clients nous sommes ouverts à toute réflexion et échange sur des projets. Nous construisons des jeux sur mesure, ce qui demande du temps et de l’investissement de toute part. L’export est la piste de développement que nous privilégions. Toute organisation qui souhaite faire passer un message peut nous demander de créer un jeu (3000 exemples au minimum). Les jeux éducatifs Bioviva traduisent la science de façon ludique et pédagogique pour toute la famille : notre ambition est de faire évoluer les mentalités en se faisant du bien à soi-même, aux autres, au monde. Nous créons des moments de vie où l’on joue, on apprend dans la joie et avec enthousiasme »
AGS déménagement, le partenaire idéal pour l’international
Franck Camus vient de prendre la direction de l’agence de Montpellier. C’est un globe-trotter, ancien militaire, alors la logistique n’a aucun secret pour lui : « à titre personnel, j’ai déménagé 24 fois en France et dans les DOM-TOM. C’est d’ailleurs lors d’une installation sur Tahiti que j’ai connu AGS Déménagement, d’abord comme un client », raconte-t-il. Il enchaîne : « AGS existe depuis près de 50 ans. Ils sont connus pour leur sérieux et disposent de ramifications partout dans le monde, soit avec une agence, soit avec des agents minutieusement sélectionnés. Les gens nous confient ‘leur vie’, on ne plaisante pas avec cela. Nous nous devons leur rendre un service irréprochable. Nous faisons du sur-mesure et nous adaptons aux besoins du client et aux contraintes de la destination ».
On n’imagine pas tous les points auxquels il faut penser. Nous faisons bénéficier à nos clients de nos ‘trucs et astuces’ acquis au fil de l’expérience. Nous maîtrisons les coûts, les délais, les contraintes … Nous avons des conventions avec les compagnies maritimes. » L’agence de Montpellier que dirige Franck gère pas moins de 600 déménagements chaque année au départ comme à l’arrivée des départements de l’Hérault, le Gard, l’Aveyron et la Lozère. Mais déménager à l’étranger, ce n’est pas qu’une question de logistique, alors AGS Déménagement propose des prestations de nouvelles prestations de relocation : accompagnement de la famille, aide pour obtenir les visas, trouver le logement sur place, inscrire les enfants à l’école. Ces services sont proposés à l’expatrié ou à son entreprise parce que ces questions concernent également l’employeur : « nous pouvons d’ailleurs intervenir très en amont du projet d’expatriation afin d’accompagner l’entreprise à budgétiser globalement son projet », précise Franck Camus.
Pour le contacter : franck.camus@ags-globalsolutions.com / tel : 04 67 47 01 09
Luigi Lenguito prédit les cyberattaques
D’origine italienne, Luigi est arrivé à Montpellier en 1999 « pour m’occuper de la plateforme italienne de Dell. J’ai d’ailleurs été le premier télétravailleur de la société ! » raconte-t-il. Son travail consistait à proposer les logiciels de cybersécurité de Dell, travailler sur le marketing/service client, les questions fusions/acquisitions. Luigi est un des initiateurs de Dell for Entrepreneurs (French Tech), et a participé à coordonner les quelques 400 salariés de Dell qui assistaient bénévolement une quarantaine de start-up : « cela m’a donné l’étincelle et je me suis lancé avec Bfore.Ai ».
C’était il y a 3 ans, Luigi est invité par l’Université du Qatar qui recherchait une solution pour commercialiser leurs résultats de R&D sur la cybercriminalité, sur le ‘Precrime’ c’est-à-dire anticiper les problèmes de cyberattaques (un peu inspiré par le film Minority Report réalisé par S Spielberg en 2002). La société Bfore.Ai sera officiellement créée en 2020 par Luigi et ses deux associés argentins, Luciano et Sebastian. « Nous sommes les premiers au monde à proposer cet outil de cybersécurité prédictive. Nous sommes capables de prédire les cybercrimes, un peu comme on peut prévoir la météo, mais avec beaucoup plus de précision , que 0.5% d’erreurs. Nous avons développé les 4 brevets du Qatar en algorithmes. Notre système peut anticiper de 6 heures à plusieurs mois. Nous commercialisons deux solutions. La première pour protéger les réseaux (bloquer pour ne pas être victime) et la seconde permet de protéger la marque en prévoyant les liens pirates qui seront diffusés pour les bloquer en amont » explique Luigi.
Luigi a rencontré Racines Sud lors des trophées de La Mêlée : « nous travaillons à 100% à l’international et avons remporté le trophée pour notre croissance (ils sont déjà 14 personnes). Nous avons choisi de démarrer par les marchés où la concurrence est déjà présente, ce qui nous permet de nous démarquer sur des clients déjà sensibilisés. Rejoindre le Club Export de Racines Sud va nous permettre de tisser des liens avec les expatriés occitans. Quand on travaille dans l’interculturel, on développe des approches différentes. Cela nous fait beaucoup de points communs. On doit être curieux et passionnés par la découverte des autres. »
Un 6ème bureau pour Simon Associés
Dans la suite de sa stratégie de maillage national et un an après avoir ouvert son bureau de Lille, le cabinet s’exporte à Nice pour ouvrir un sixième bureau dans les locaux de WABG.
L’ouverture d’un bureau dans la région Provence-Alpes-Côte-d’Azur s’inscrit dans la continuité de ses actions, tant pour renforcer les liens sur place, que pour aller à la rencontre de futurs clients, dans une région en pleine dynamique. Cette stratégie permet à Simon Associés d’apporter aux PME, PMI et ETI une réponse locale, un savoir-faire régional maîtrisé par des équipes toujours proactives au sein de leur tissu économique comme auprès des organisations institutionnelles de la région, et de permettre aux entreprises d’accéder ponctuellement à des domaines de compétences parfois peu présents en région (international, protection et valorisation des données, transformations digitales, etc.). Simon Associés poursuivra son partenariat avec les équipes du cabinet WABG Avocats & Associés, membre local du réseau Simon Avocats qui regroupe aujourd’hui 10 cabinets alliés installés dans 16 villes en France. WABG, installé à Nice depuis 60 ans, est composé de 6 avocats dont 4 associés représentés par Marielle Walicki, Sophie Gomila, Cédric Bianchi et Marc Authamayou.
Ce bureau sera placé sous la responsabilité de Stéphanie Roquefort, l’une des associés, experte en venture capital et fusions-acquisitions, qui aura la charge de poursuivre le rayonnement national de Simon Associés. Diplômée de l’ESSEC et du Magistère de Droit des affaires d’Aix-en-Provence, Stéphanie conseille des fonds d’investissement, des chefs d’entreprise et de jeunes fondateurs à tous les stades de leurs projets : création, levée de fonds, cession et restructuration in bonis ou en cas de procédures collectives.
Les avantages patrimoniaux d’un investissement immobilier en nue-propriété
Le marché immobilier résidentiel français est depuis plusieurs années très attractif. L’an dernier, on comptait plus d’un million de transactions avec une augmentation de 11 % par rapport à 2018 et une hausse du prix de l’immobilier de 5,2 % dans les 10 plus grandes villes françaises. Le maintien des taux de crédit à un niveau historiquement bas participe pleinement à cette attractivité. Même si la crise du COVID-19 a eu et a des impacts non négligeables sur l’économie, plusieurs signes nous montrent que l’immobilier devrait rester attractif. La politique actuelle de taux bas contribue à la valorisation des biens et au maintien de son attrait par rapport aux autres classes d’actifs. Les besoins de se loger, de travailler, de produire et de vendre demeurent intacts. Dans tous les cas, la nécessité de projection à long terme s’impose. Pour autant, pour réussir son investissement, il faut savoir différencier les territoires ainsi que les marchés en fonction des types d’actifs.
Intéressons-nous à la nue-propriété, qui constitue avec l’usufruit l’une des deux composantes de la pleine propriété. Le principe d’un investissement immobilier en nue-propriété réside dans le fait que son usufruit est détenu par une tierce personne, physique ou morale. Dans le cadre des programmes immobiliers « packagés » pour la nue-propriété, l’usufruit est généralement détenu pendant 15 à 20 ans par un bailleur institutionnel, qui gère, loue et entretient le bien pendant toute cette période. Pendant cette phase, le nu-propriétaire ne perçoit pas de loyers et son bien ne lui rapporte rien. À l’issue des 15 ou 20 ans, l’investisseur redevient pleinement propriétaire du bien à sa valeur vénale et sans droits de mutation. Il est alors libre de le louer, de l’occuper ou même de le revendre.
L’investissement immobilier en nue-propriété comporte de nombreux avantages, que nous conseillons à nos clients.
– Son prix d’acquisition est nettement inférieur à celui d’un bien en pleine propriété
Ce type d’investissement immobilier permet aux investisseurs qui achètent uniquement la nue-propriété d’un bien immobilier de payer celui-ci 30 à 50% moins cher que s’ils l’avaient acquis en pleine propriété. Par cette décote initiale, le patrimoine se valorise ou éventuellement, reste stable, à mesure qu’approche la fin de la période de détention de l’usufruit par le tiers. Un prix d’achat moindre implique également des frais de notaire inférieurs que dans le cas d’une acquisition en pleine propriété.
– La propriété immobilière sans les contraintes et les charges inhérentes
En abandonnant l’usufruit de son bien immobilier à un tiers, l’investisseur nu-propriétaire est libéré des contraintes et des charges inhérentes à la gestion, à la location et à l’entretien du bien, celles-ci incombant légalement à l’usufruitier. Les charges, les travaux de copropriété, la taxe foncière et la taxe d’habitation et toutes les autres dépenses liées à l’usage du bien sont, selon les cas, la responsabilité du locataire ou de l’usufruitier.
– Des avantages fiscaux indéniables
Au-delà de l’absence de taxe d’habitation et de taxe foncière, l’investissement immobilier en nue-propriété n’a aucun impact sur l’impôt sur le revenu du nu-propriétaire puisqu’aucun revenu locatif n’est encaissé.
Lorsque l’investisseur a contracté un emprunt pour acquérir la nue-propriété d’un bien immobilier, le montant des intérêts de celui-ci peut être déductible de revenus fonciers générés par d’autres biens. Dans le cas où l’investisseur ne bénéficierait pas par ailleurs d’autres revenus fonciers, ces intérêts sont reportés pendant 10 ans sur des rentes foncières à venir, étendant ainsi la possibilité de l’économie d’impôt.
Enfin, ce type d’investissement présente aussi un avantage majeur pour les foyers soumis à l’impôt de solidarité sur la fortune, car la valeur du bien détenu en nue-propriété n’entre pas dans le patrimoine taxable à l’IFI. Le bien ne réintégrera l’assiette de calcul de l’IFI de l’investisseur que lorsque ce dernier en récupérera la pleine propriété.
Toujours dans le cadre d’un investissement patrimonial et sur du long terme, le choix d’acquérir de la nue-propriété temporaire est une solution qui est encore plus efficiente dans la période actuelle. En reprenant les critères évoqués pour réaliser un bon investissement immobilier, la nue-propriété temporaire offre de véritables avantages patrimoniaux comme, entre autres, l’absence de fiscalité et de contrainte de gestion pendant la période de démembrement.
Pour plus d’informations, n’hésitez pas à nous contacter par mail à l’adresse contact@groupe-crystal.com
Éclaircissement de la loi sur les données personnelles en Chine
Ce qu’il faut retenir :
Un peu plus de 3 ans après l’adoption en France de la LOI n° 2018-493 du 20 juin 2018 relative à la protection des données personnelles, le Comité Permanent de l’Assemblée Populaire de Chine (Parlement chinois) a adopté le 20 août 2021 la loi sur la protection de la vie privée en ligne (2021年8月20日第十三届全国人民代表大会常务委员会第三十次会议通过), qui vise notamment à restreindre les collectes parfois abusives de données personnelles effectuées par les géants du numérique (« 中华人民共和国个人信息保护法 ») (la « Loi »).
Elle entre en vigueur le 1er novembre 2021.
Pour mémoire :
Les entreprises du numérique sont particulièrement dynamiques en Chine où une législation jusque-là relativement laxiste sur les données, et l’absence de concurrents étrangers, ont permis à des géants locaux d’émerger. Le secteur a ainsi pu collecter des quantités de données personnelles sur les Chinois (habitudes pour les trajets, les repas, types d’achats, paiements…), via la multitude d’applications qu’ils utilisent au quotidien.
Pour approfondir :
La Loi arrive en réaction à la recrudescence ces dernières années des escroqueries sur internet, mais surtout à l’inquiétude croissante des consommateurs chinois face aux fuites de données ou au recours aux algorithmes. En vertu de la Loi, les entreprises publiques et privées devront minimiser leur collecte d’informations personnelles des citoyens et obtenir leur consentement préalable. Le texte vise notamment à renforcer le contrôle des transferts de données à l’étranger et définit quels types d’informations à risque relèvent de la sécurité nationale. La Loi définit une classification des données en fonction de leur degré d’importance et du « risque » qu’elles représentent pour « la sécurité nationale ». Le texte place les entreprises devant leur responsabilité pour prévenir toute fuite de données, jugées comme sensibles. Toute entité récoltant des informations se doit d’être irréprochable en matière de cybersécurité. Elles devront « créer un système complet de la protection des données personnelles ; publier régulièrement le rapport sur les données collectées ; accepter les contrôles des autorités compétentes et du public général », conformément à l’article 58 de la Loi. Parmi les autres dispositions, la Loi indique que les informations personnelles des citoyens chinois ne pourront pas être transférées vers des pays aux normes inférieures à la Chine dans ce domaine. En cas de non-respect des nouvelles règles, les compagnies s’exposent à des amendes pouvant atteindre 50 millions de yuans (environ 6,6 millions d’euros) ou même 5% de leur chiffre d’affaires annuel mondial (Article 66 de la Loi). Pour mémoire, avec le RGPD (Règlement Général sur la Protection des Données), le montant des sanctions pécuniaires peut s’élever jusqu’à 20 millions d’euros ou dans le cas d’une entreprise jusqu’à 4 % du chiffre d’affaires annuel mondial. Pour les infractions les plus graves, les autorités pourront priver les entreprises de leur licence commerciale, voire les contraindre à fermer définitivement. La Loi fait partie d’un ensemble de textes récemment publiés qui visent à davantage encadrer l’économie numérique en Chine pour les prochaines décennies.
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